Dans le parc, sous les quelques cerisiers [Pv avec M. Hi..]

Shizune se promenais sous les rares cerisier en fleurs du parcs, ses cheuveux voletais sous la brise legere qui donnais au lieu un effet féerique. Les yeux vide d'expression, la fillette marchais, prudament et sans se presser, se prélassant presque telle un chat gétant sa proie.
Vétue d'une robe au coulleur froide, elle marchais toujours, sous les arbres, alors que une légère pluie commencait, tendis qu'il faisait toujours chaud, ce qui était peut commun, car le japon n'était pas au climat tropical, du moins, pas à tokyo. La magie oppérait ici, partout, cela se sentais, mais peut être que Shizune n'y était pour rien. Cela était presque certains.

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Alors que la jeune fille déambulait à travers le parc, une longue note grave, et puissante résonna dans les airs, faisant vibrer le vent, la terre, et le ciel. Lentement elle atteignit son apogée, puis s'estompa comme dans un rêve, laissant la place à une seconde, tout aussi sombre qui irradia le silence de sa présence.

Puis une à une se furent tous les sons d'une vaste mélodie qui se déposèrent dans le vent, formant tout d'abbord une vague, puis un véritable océan de notes claires, et chaudes, et lourdes, et pesantes. Le grondement de l'archet sur les cordes résonna de longues minutes à travers le parc désert, laissant la musique tout envahir avec plus de force qu'un char d'assault, et plus de douceur qu'une colombe.

Depuis l'ombre d'un arbre l'homme continua de faire vibrer les cordes du violoncelle, les yeux fermés, et le visage emplit d'un sentiment étrange.

Sous la pluie, alors que étrangement, les cheuveux de shizune était longs, que ses yeux se bleutais d'une couleur semblable au ciel qui s'etendais sur toute l'horizon, une douce mélodie vint porter au oreille de la fillette.
Elle resta immobile, sous un cerisier, chose dangereuse lors d'un orage, là, seulement de la pluie coullait telle les pleure du ciel et des nuages, mais la teinte grisatres de ces derniers trahissait l'arrivée des éclairs de colère.
Alors que sa robe, blanche et très légerement bleuté, se mouillait, ainsi que la chevellure magnifique de la créature humaine qu'était Shizune, la fillette se mis à chanter, sa voie s'accordant à la mélodie si douce et brute à la foie.
Fermant les yeux, elle se dirigea vers le milieu du parc, ses cheuveux longs arrivant au dessus de sa taille, ses yeux clos, ses mains blanche sur les cotès de son corp frêle, elle chantais, de toutes ses force, et de toute son ame, alors que pourtant, elle chantais si doucement, avec une telle légeretée...

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La chanson répondit à la couceur de la musique, et lentement l'homme leva les yeux de son instrument, avant de se tourner vers la jeune fille qui fredonnait au loin. Comme un fantome, il se redressa sans bruit, et continua à faire vibrer les cordes de l'immense instrument, avant de faire signe à l'écolière de le rejoindre.

Se rasseyant, il ferma les yeux, et se laissant emporter par sa mélodie, laisant ses longs cheveux sombres couller sur ses épaules.

Elle n'eu pas à rouvrire les yeux pour savoir qu'on l'invitait à venire, mais elle ne bougea pas, "si tu veut que je vienne àtoi, vient d'abord à moi!" semblais dire l'intonation de son chant et son leger sourire, presque carnassier.
Alors que la brise faisait voleter les cheuveux trempée près du corp de la fillette, celle ci continua de chanter de plus belle, jusqu'a ce qu'elle se stoppe, en ouvrant les yeux en douceur, pour accepter de se déplacer vers le jeune homme.
Muette, elle resta debout près de lui, la pluie donnant un air presque sinistre au lieu magnifique, alors que les bourgons de fleurs de sakura avais toujours du mal à sortire. Que shizune semblais plus sombre que jamais, et plus belle encore à l'effet de la pluie recouvrant ses habits et ses cheuveux, lisse comme jamais et plus longs qu'a leur habitude, shizune changeais, et elle se renfermait, ou elle comprenais.

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L'homme posa un regard doux sur la jeune fille debout à ses cotés, et inclina légèrement la tête avant de murmurer:

Vous avez une très belle voix. Elle se marrie avec l'instrument.

Délicatement il effleura les cordes qui hémirent de nouveau un son grave, et mélodieux alors que son visage se couvrait d'un masque mystérieux.
Sans ajouter un mot, il regarda le ciel, et entreprit de continuer à faire vibrer les cordes, improvisant une mélopée aux sons doux, et tristes qui semblait raconter l'histoire solitaire d'un ange qui a perdu ses ailes, et qui rêve, mélancolique, de retourner chez les siens.

Toujours prêt de l'homme, Shizune demeurait à présent immobile, et toujours aussi muette, depuis que son chant avait disparue du parc, il n'avais pas renaqui de ses douce lèvre, qui recevais depuis maintenant des heures, l'eau de pluie, le temps passait si vite, cela faisait maintenant plus de 10 minutes que les lèvres du jeune homme si mystérieux s'était ouvertes, laissant échapper un léger sourire de contentement à la jeune princesse, ou du moins, à celle qui paraissais avoir le statut digne d'une grande fille dotée d'une voie parallèle à celle du signe blanc. Si le signe blanc avais eu une voie pour chanter.
Alors qu'elle s'inclinait, n'oubliant pas les bonnes manières, laissant couller légèrement sur ses frèle épauls blanches, ses cheuveux, elle laissa entendre un léger murmure, à peine audible, aspirant au "merci".
Si la voie de Shizune était extraordinaire en ce moment même, ca n'était pas parceque elle en avais était pourvue dès la naissance, car seule les pouvoirs et les dons de dieu se manifestais en ce lieu même, en shizune, et demain, à l'aube, elle retrouverais sa voie normal, sèche et qui pour rien au monde ne savais chanter jusqu'a maintenant.
Alors que les cordes de l'instrument faisait entendre le bruit si mélodieu, d'une musique merveilleusement joué, que dire, que faire, même la demoiselle ne savais plus trop, quand elle entendue à nouveau, de plus belle, la musique de l'instrument, c'était le moment.
Sont chant recouvra à nouveau le son de l'instrument, s'encrant à l'intérieur, se mélant aux notes, s'introduisant à l'intérieur de la cadence. Les deux sons ne faisais plus qu'un, et qui sais, il portais peut-être déjà au loin.

[Désolée du temps, je n'ai pas répondue, puis le 7 je suis partie en vacances, et je suis revenue dimanche, navré °x°].

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La douceur de la mélopée se fit soudainement plus grande, prenna tappuis sur les notes imparfaites pour atteindre un nouvel univers d'une perfection infinie. Le chant mellé à la musique donna un résultat si impressionant que le jeune professeur leva les yeux de son énorme instrument, observant la jeune fille avec un regard où se mellait stupeur et émerveillement.
Les minutes passèrent, inondant les hectares allentours d'une cadence si frénétique que les herbes elles mêmes semblèrent prendre vie.

Puis soudain, comme dans un rêve, les notes ralentirent, les sons disparurent, et M. Hinacha acheva la magnifique concerto part le son délicat d'une corde qui vibre, alors que la voix de la jeune fille continuait à pourfendre les airs, faisant danser les ondes telle la déesse d'un nouveau monde. Sans un mot il la regarda, paralysé par tant de grace, et n'osant la déranger il rangea son instrument avec le plus grand silence, et s'assit sur l'herbe, les yeux dans le vide, et les oreilles buvant chaque parôle.

Ce chant, qu'on pouvais qualifier d'une douceur infinie doubler de l'ardeur d'une voie puissante, n'était surement qu'une facade,entre la réelle shizune et celle qu'elle aurais été si ce jour d'hiver n'avais pas exister, d'ailleurs, étrangement, de la neige fine semblais tomber, le plus amusant était qu'elle ne dépacait vraisemblablement pas le parc, mais shizune ne pouvais pas le remarquer, elle, était plonger dans un état second. Surement cette état qui avais apporter maint et maint convoitise, et qu'elle daignait offrire à un misérable humain, qui n'avais en sois, rien de méprisable ni réellement misérable, puisqu'il savais jouer de l'insutrument comme jamais shizune n'eu put entendre, a part aujourd'hui.
Pourtant, si absorbé par ses paroles, son chant, elle ne remarqua point l'absence de son émanant d'un quelconque instrument, et encore moins de la bouche d'un homme.
Non, Shizune était seule.

Elle était seule à chanter, la brise douce caressant ses cheuveux qui s'élencait derrière elle, si longs, si fier, son visage dégagé de la moindre trace de larmes et de mèches de cheuveux bruns nuit, ses mains blanches elle aussi mis en arrière, ainsi que ses bras, alors qu'elle gonflait sa poitrine vers le haut* semblant tenter de crier quelque chose, alors que le seule son qui émanait d'elle était un chant magnifique, dont shizune n'avais réellement pas la capacité de chanter.
Un son qui émanait, pour une raison quelconque, ce jour là, quoiqu'elle pouvais en penser, et le jeune homme aussi, sous ces flocons féerique sortie de nulle par et ces légères fleurs de cerisiers si rare encore à cette periode de l'année à Mahora.
Elle ne cessa pas de chanter, continuant, ne stoppant jamais, tendis, que parfois, ses cheuveux se courbais, amenant shizune a fermer fort ses poinfs quand la plus belle chose qu'elle possedait, venait à frapper for son visage sous le coup de cette brise enchanteresse, l'amenant aussi à fermer les yeux de plus belle et a plisser legerement sa bouche un fragment de seconde, alors que, magistralement encore, le son continuait.

Quand Shizune tomba soudainement au sol, ses longs cheuveux dégringollant à ses cotès, telle des ails, alors qu'elle fermait fort les yeux, le son s'étant arretter, shizune par terre, vétue d'une robe blanche, legerement sale, et atrocement trempée, la fillette devais être trempée jusqu'au os.
Elle resta par terre, plissant ses lèvres et ses yeux, ses cheuveux formant une cape autour d'elle, telle un ange souffrant.

[Je tient à préciser que je n'embellis pas Shizune, en temps normal, bien entendue, elle n'es en aucun cas magnifique, elle est juste dotée de magnifique cheuveux, et elle est, précisons le encore une fois, hissu de, tout de même, une famille dont l'héritage est grandiose, mais bien entendue, elle n'es pas une déesse vivante, quoique ... **SBAFF** enfin bref, tout ca pour dire que même si parfois j'ai tendance à utiliser beaucoup d'adjectif mélioratif, c'est parceque dans ce topic en particulier, cela convient mieu je trouve, et que dans les autres, ca sonne toujours mieu, qu'une phrase débile entre parenthèse pour préciser que: gonfler de la poitrine, ne veut pas dire qu'elle change de bonnet --', enfin voilà =) etc. etc. <33333].

» Apartement de Vaan[ suite du rp avec Freya dans le parc]
» assis sous les cerisiers